Abstract
L’art et la foi se rencontrent dans le travail de l’artiste, qui traduit le monde et la transcendance par la création. Inspiré par Vatican II, le texte insiste sur l’importance d’écouter les créateurs contemporains et leur langage symbolique. À travers Jonas (Camus) ou Arcabas, l’artiste s’isole pour donner sens au monde et nourrir la spiritualité. L’œuvre devient alors un chemin de foi, mêlant engagement personnel, beauté et dialogue avec le sacré.