Abstract
Les récits de la Genèse montrent que Dieu crée l’humanité à la fois dans l’unité et dans la séparation.
Cette séparation, loin d’être une perte, fonde l’altérité homme-femme et ouvre à la relation, à l’alliance et à la fécondité.
Ainsi, l’unité véritable ne réside pas dans le retour à l’androgyne primordial, mais dans l’accueil de la différence comme chemin vers l’amour et la bénédiction.